Il était une fois, dans un pays lointain appelé Japon, un jeune garçon, vivant avec sa sœur à l’orée d’une grande et sombre ville. Pour son 15° anniversaire, sa grand-mère lui avait offert un ravissant ( ! ! !) manteau rouge et une paire de gant de la même couleur, dès lors on ne l’appelait plus que le petit chaperon rouge.

Un jour, sa sœur lui dit :

Le petit chaperon rouge se dirigea donc d’un pas joyeux vers la gare ( ben ouais quoi ! Ca fait quand même une trotte, j’vais pas y aller à pied ! ! !) : Lala, le stroumph lala, viens stroumpher en chœur… ; quand, arrivé sur le quai, il glissa sur une peau d’banane et s’affala, pitoyablement, de tout son long, sur le sol : splash ! Sur le quai d’en face se tenait un grand loup noir qui l’épiait en se régalant à l’idée de pouvoir le croquer.

Une idée machiavélique germa dans la tête du grand méchant loup : pourquoi se

contenter d’un seul quand on peut se faire les 2 ?

Le petit chaperon rouge repartit en courant vers la gare routière. Le loup se frotta les

mains ; les trains n’étaient pas en grève et il aurait tôt fait d’être chez la grand-mère ; de là, il n’aurait plus qu’à attendre l’arrivée du petit chaperon rouge.

Comme prévu, il arriva le premier sur les lieux et frappa à la porte :

"  Hum…! IL a une drôle de voix aujourd’hui Subaru ( aurait-il mué subitement durant la nuit ? ) ; enfin, c’est peut-être parce que j’ai les oreilles bouchées par la maladie ? ! "

Le loup entra et d’un bond croqua la grand-mère ( pouah ! ! ! c’est vraiment pas de

la première fraîcheur, on dirait de la viande rassis… C’qui faut pas faire pour arriver à ses fins ! J’devrais demander une augmentation pour prise de risque ! ! ! ) Entendant quelqu’un arriver, il enfila la chemise de nuit de la grand-mère et sauta dans son lit.

Le petit chaperon rouge entra et se dirigea vers le lit :

Et d’un bond, il sauta sur le petit chaperon rouge qui, prévoyant le coup s’était décalé. Du coup, le loup se mangea le parquet ( aie ! ), permettant à sa proie de prendre de l’avance.

A deux pâtés de maison de là, se trouvait un tout jeune homme qui s’entraînait à l’épée

en tentant désespérément de couper en deux la pomme qu’il avait en face de lui ( j’me prépare pour la fin du monde ! ). Dans sa débâcle, le petit chaperon rouge, qui avait toujours le loup sur ses basques et faisait le maximum pour ne pas l’avoir ailleurs, passa auprès de lui alors qu’il abattait une nouvelle fois son épée. Le tranchant de sa lame déchira le ventre du loup, duquel sortit, encore intacte, la grand-mère ( mauvaise comme elle était, j’allais comme même pas en faire plusieurs bouchée ! ! !). Armée de son oreiller ( lui, j’l’avais bouffé pour faire passer l’goût ! ! !), elle poursuivit le loup qui se sentant mal barré, décampa en se tenant le ventre pour éviter de perdre ses entrailles (c’est décidé cette fois, au prochain épisode je demande une prime de risque ! ! !).

Le petit chaperon rouge remercia platement l’escrimeur pour son aide.

Moralités de l’histoire :

    1. Si tu veux pas te faire violer, évite les gares !
    2. Le consommé de p’tite vieille est mauvais pour l’estomac !
    3. Maintenant tu sais pourquoi X compte autant de volume ( l’temps Kamui apprenne à se servir de son épée !) !

Fin

Distribution :

Le petit chaperon rouge  : Subaru Sumeragi

Le grand méchant loup  : Seishirô Sakurazuka

La grand-mère  : Grand-mère Sumeragi

L’apprenti escrimeur : Kamui Shirô

La sœur du petit chaperon rouge  : Hokuto Sumeragi

Cette histoire complétement idiote vous a été présentée par Chat Noir, dans le cadre des contes parodiques. Si, malgré sa profonde débilité, elle vous a plus, faîtes le moi savoir, et je vous enverrai la suivante : Le bel au bois dormant , avec, dans le rôle titre : Kakyû Kuzuki, pour c’qui est du premier rôle féminin, rien n’est encore décidé, les postulantes au rôle de celle qui réveillera le prince endormi en lui roulant une pelle étant fort nombreuses et prêtes à tout ! ! !

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